Pourquoi vous allez aimer travailler avec nous
Plutôt que de vous vanter tout ce que l’on sait faire, j’aimerais vous raconter l’histoire d’une vente réalisée par nos soins.
Celle de Jean-Marc et Brigitte P., de jeunes retraités dynamiques, propriétaires d’une villa à Cossonay.
J’ai eu le plaisir de les accompagner dans la vente de leur bien.
Premier contact
Un mardi matin, Jean-Marc appelle au bureau, il cherche une agence immobilière à Cossonay pour demander une estimation de la valeur de sa villa.
Anna, ma chère épouse et associée, lui répond. Il pose quelques questions telles que :
- « Est-ce que l’estimation est gratuite ? »
- « Est-ce que le RDV est sans engagements ? »
Anna le rassure :
« L’estimation vous est offerte, c’est une bonne manière de faire connaissance. Elle est sans engagement. Vous resterez libre de mandater l’entreprise qui a su vous mettre en confiance ».
Le RDV est pris pour le jeudi matin, de la même semaine.
Le rendez-vous d'estimation
À mon arrivée, Jean-Marc, très dynamique, me propose tout de suite de visiter. Je ralentis les choses, pour moi la première étape, c’est de comprendre pourquoi ils veulent vendre et ce qu’ils attendent de moi.
Il m’explique que sa villa est devenue une trop lourde charge. Lui, en a ras-le-bol de tondre la pelouse, de tailler la haie et d’entretenir le jardin. Et Brigitte, son épouse, n’en peut plus d’entretenir la villa, devenue beaucoup trop grande maintenant que leurs deux fils ont quitté le nid.
Ils me confient qu’ils ont déjà trouvé un appartement en Valais. La construction se termine dans 6 mois. Jean-Marc m’explique qu’ils doivent vendre idéalement sous 4 mois.
- Nous aimerions vendre sous 4 mois. Est-ce possible ?
- Oui, absolument !
- Sans brader notre bien ?
- Bien sur !
Le couple me fait visiter la maison de la cave au galetas. Je prends des notes, date de construction, rénovations, agrandissements, modifications, entretien et réparation, à la fin de la visite la maison n’a plus de secret pour moi.
Je prends note de tous les arguments que je vais pouvoir utiliser lorsque je ferai moi-même les visites.
Ils sont complètement transparents avec moi, c’est bon signe. Mais je sens bien que c’est une épreuve douloureuse. Ils sont fortement attachés à leur maison.
Un studio indépendant a été loué jusqu’au mois passé. C’est une belle valeur ajoutée à la villa.
L’inspection se poursuit et j’obtiens les documents tels que la police de l’assurance ECA, l’extrait de Registre foncier, et tous les autres documents pertinents tels que les plans.
Et je suis prêt à retourner au bureau pour faire l’estimation.
Je conviens d’un RDV avec eux, lundi à 10:00 pour leur apporter les résultats de mes calculs.
Il faut maintenant déterminer le juste prix de leur bien.
Maura Chevalley
L'estimation
Pour être le plus précis, je croise plusieurs méthodes d’estimation.
La méthode de la valeur intrinsèque et la méthode hédoniste.
Avec une bonne dose de bon sens en plus, mon estimation est prête.
Je retourne chez eux afin de leur rendre les résultats de mes estimations. On prend le temps d’en discuter. Et on élabore différents scénarios concernant le prix, mais aussi les conditions d’achat de la maison.
Sauf que, Jean-Marc a oublié de me dire que le mois prochain, la chaudière à gaz qui a 25 ans sera remplacée par une pompe à chaleur flambant neuve. J’adapte donc le prix de vente en conséquence.
Nous sommes d’accord sur le prix de vente à afficher.
C’est un prix optimiste, mais pas utopique.
La signature du mandat
Nous signons un mandat exclusif avec une commission de 2.5% à verser uniquement en cas de réussite de la vente.
Pourquoi un mandat exclusif ? Parce que Jean-Marc, Brigitte et moi-même allons faire équipe ensemble pour vendre au meilleur prix.
L’objectif ici est de mettre les acheteurs en concurrence pour que je puisse défendre les intérêts de mes mandants.
Jean-Marc et Brigitte sont malins. Ils savent qu’en me donnant une exclusivité, je vais tout faire pour défendre leurs intérêts et leur amener plusieurs offres d’acheteurs.
Le mandat est personnalisé, car il se peut que leur fils achète la maison. Dans ce cas, aucune commission ne sera due. Cela fait partie du jeu. C’est noté noir sur blanc. Après tout, je suis mon propre patron, j’adapte mes conditions comme bon me semble.
À partir du moment où tout est fait correctement :
- les photos,
- la visite virtuelle,
- les annonces sur tous les portails,
- les propositions à mon fichier d’acheteurs,
- l’envoi des dossiers,
- les RDV de visites d’acheteurs sérieux
Il n’y a pas de raison de ne pas réussir la vente.
Par contre, pour complètement rassurer le couple, mon exclusivité est limitée à 2 mois. Comme cela, Jean-Marc et Brigitte ne se sentent pas bloqués.
Envie de nous rencontrer ?
Préparation du bien et commercialisation
Le jour de la signature du mandat, il ne fait pas beau. Et la maison doit être préparée pour les photos.
J’envoie une vidéo qui montre en 3 minutes comment aménager son bien avant la prise des photos. Brigitte est rassurée, elle pensait que ce serait beaucoup plus compliqué.
Mardi 14:00, il fait grand beau. C’est le moment idéal pour faire les photos. J’ai mon matériel avec moi. Mon drone est prêt.
Des photos intérieures et extérieures sont prises avec un appareil très spécial ainsi que des clichés pour faire une visite virtuelle immersive.
Photographie imobilière
Le studio vide ne donne pas envie. Difficile pour un acheteur de s’y projeter, surtout sans meubles.
Je demande à mon équipe de faire une simulation de rénovation et d’ameublement sur base de mes photos. C’est bien plus attrayant. Je note évidemment sur la brochure qu’il s’agit d’une mise en scène.
Simulation d'ameublement
Simulation de rénovation
CECB
Pour la vente, il est nécessaire d’obtenir un certificat énergétique. Le fameux CECB.
Le certificat sera commandé après que la pompe à chaleur ait été remplacée. Cela améliorera la note. C’est un très bon point qui m’aidera à défendre les intérêts des propriétaires.
Jean-Marc me dit qu’il connaît un expert qui le fera pour 2’000 Frs. Je suis étonné, le mien est nettement plus abordable et il se charge de tous mes certificats énergétiques depuis des années.
Certains professionnels ont tendance à gonfler leur prix, j’ai pu observer cela au fil de mes ventes.
Pour info, la réalisation d’un CECB est une prestation standardisée, qui coûte dans les 650 Frs.
Le texte de l'annonce
Le texte doit attirer les bonnes personnes, répondre aux questions fondamentales tout en suscitant l’intérêt et en restant original.
Dans mon agence, le mot “magnifique” est banni des descriptifs. Il est bien trop utilisé en immobilier.
Je montre mon projet d’annonce à Jean-Marc et Brigitte. Ils me font une remarque tout à fait pertinente. Je suis à leur écoute, alors j’adapte le texte.
Les Plans
Les plans de la maison sont vieux et difficiles à déchiffrer. Je les scanne pour en faire de nouveaux, plus simples à lire.
On ajoute un ameublement sur celui-ci pour que les acheteurs se rendent mieux compte des dimensions. Cela les aide à se projeter.
Je lance les publications.
En parallèle, j’envoie un message à chaque potentiel acheteur de mon fichier à qui le bien pourrait correspondre.
48 heures plus tard, 14 personnes me demandent un dossier. Des questions précises me sont posées. C’est bon signe. Ces personnes-là sont sérieuses. Elles ont lu l’annonce, regardé les photos et analysé les plans.
Je suis réactif, je réponds à chaque question au plus vite.
Les visites
Il est temps d’organiser les visites, mais pas le mercredi parce que Brigitte s’occupe de son petit-fils et m’en a fait la demande expresse.
Plusieurs familles s’intéressent à la maison, mais ils travaillent tard en semaine. Le samedi est donc un jour chargé.
On a convenu avec le couple que je les mènerais seul pour que les acheteurs se sentent plus à l’aise de poser leurs questions.
Les visites se suivent, mais ne se ressemblent pas.
Une semaine après la mise en vente, les propriétaires partent deux semaines en vacances et me demandent comment faire. Je leur propose de me laisser une clé de la maison. Je vais même pouvoir faire visiter la maison le mercredi.
Nous créons un groupe sur WhatsApp pour partager des nouvelles : après chaque visite, j’envoie un petit résumé pour les informer des résultats de mes démarches.
Voilà maintenant trois semaines que la mise en vente a débuté et déjà deux couples me demandent de voir le bien une deuxième fois.
Christophe Meyer
La négociation
L’un d’entre eux me demande s’il est possible d’agrandir la villa.
J’ai anticipé cette question, étudié le règlement des constructions de la commune et rencontré le municipal.
Et oui, il est possible d’agrandir.
Il sera bien entendu nécessaire de faire une demande en bonne et due forme, mais les informations du Registre foncier et la confirmation de la commune me permettent de répondre positivement à la question, documents à l’appui.
À mon tour d’être malin et de montrer la valeur ajoutée de mon intervention. Les visites sont arrangées pour que les deux familles se croisent lors de la deuxième visite.
Cela leur fait tout de suite comprendre que le bien intéresse d’autres acheteurs.
Le soir même, les deux familles soumettent une offre au prix affiché. Pas de négociation. La première offre est soumise par les Muller, elle est conditionnée à la vente de leur appartement actuel, ce qui laisse un flou sur la date de remise des clefs effective.
La deuxième, soumise par les Rochat, est accompagnée d’une attestation de la banque disant que les acquéreurs disposent de la capacité financière nécessaire pour acheter ce bien. Mais cette dernière propose un terme de la vente dans 7 mois.
On en discute. Cela ne joue pas pour Jean-Marc et Brigitte. Le délai est trop long. Cela met leur propre projet en danger.
J’obtiens toutes les infos, auprès de la famille Rochat. Ils attendent de recevoir une somme dans 7 mois. Mais pas avant.
Je les mets alors en relation avec mon courtier en hypothèque. C’est un crack du financement. Si lui ne peut pas trouver de solution, c’est qu’il n’en existe aucune.
Il la trouve.
Les Rochat proposent donc une nouvelle offre avec un terme de la vente dans 4 mois. Je transmets les informations aux vendeurs. Le projet est remis sur les rails.
Tout le monde est d’accord. C’est parfait.
Il est temps d’aller chez le notaire.
Le notaire
Les acheteurs n’en connaissent pas.
J’en propose donc un, réputé pour sa rapidité et ses explications limpides. En plus, il est sympathique, j’ai conclu de nombreuses affaires avec lui.
Le RDV est pris.
J’organise que toutes les informations nécessaires soient transmises pour faire préparer un projet d’acte conforme aux volontés de Jean-Marc et Brigitte.
L’acompte est versé. Je me rends chez les acquéreurs pour les aider à saisir toutes les nuances du projet d’acte. Ils savent maintenant comment poser leurs questions au notaire.
Les vendeurs sont sereins. Le notaire leur a déjà confirmé la bonne réception de l’acompte.
C’est le jour J. Le notaire nous accueille. L’acte est lu et surtout expliqué au fur et à mesure.
Tout est clair. Le contrat est signé.
La vente est ferme et définitive, elle sera exécutée 4 mois plus tard.
Ça se fête, j’offre l’apéro avec plaisir !
C'est le jour J.
Le notaire nous accueille. L’acte est lu et surtout expliqué au fur et à mesure. Tout est clair. Le contrat est signé. La vente est ferme et définitive, elle sera exécutée 4 mois plus tard.
Ça se fête, j’offre l’apéro avec plaisir !
Après la vente
Certains courtiers considèrent que leur travail s’arrête ici.
Pas chez Concretise.
Je vais suivre l’affaire jusqu’à ce que les acheteurs soient entrés dans la maison. Dans ce cas-ci, un rendez-vous avec le plombier était nécessaire, mais Jean-Marc et son épouse étaient déjà loin. Je m’en suis chargé.
D’autres questions ou demandes peuvent surgir. Je continue de m’occuper de l’affaire aussi longtemps que nécessaire afin de m’assurer que tout est en ordre.
Ce cas vous donne un aperçu de nos méthodes, mais votre vente est unique, c’est pourquoi nous mettons un point d’honneur à personnaliser l’expérience de chacun de nos mandants.
Vous voyez, comme je vous le disais, vous allez aimer travailler avec nous.