Le glossaire immobilier
de l'agence Concretise

Nous avons compilé pour vous un glossaire pour comprendre tous les mots du jargon immobilier.
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Humidité relative ou hygrométrie

Général

L’humidité relative, aussi appelée hygrométrie, désigne le rapport entre la quantité réelle de vapeur d’eau présente dans l’air et la quantité maximale que cet air pourrait contenir à une température et une pression données. Elle s’exprime en pourcentage. Si l’air est totalement sec, on parle d’une humidité relative de 0 % ; si l’air est saturé en vapeur d’eau, l’humidité relative atteint 100 %.

On la qualifie de « relative » car cette mesure dépend de plusieurs facteurs :

  • la quantité de vapeur d’eau réellement présente dans l’air,
  • la température : plus l’air est chaud, plus il peut contenir de vapeur d’eau,
  • la pression atmosphérique, qui influence aussi la capacité de l’air à retenir l’humidité.

Par exemple, à 20°C, un mètre cube d’air peut contenir environ 17 grammes de vapeur d’eau. Si ce mètre cube contient réellement 8,5 grammes, l’humidité relative sera de 50 %. Mais si la température chute, cette capacité diminue : à 10°C, l’air ne peut plus contenir que 9,4 grammes. Dans ce cas, les 8,5 grammes représentent alors près de 90 % d’humidité relative. Voilà pourquoi l’air peut sembler plus humide en hiver, même si la quantité réelle d’eau n’a pas changé.

Dans une habitation, l’hygrométrie ou humidité relative est un facteur important de confort, mais aussi de santé et de conservation du bâtiment :

  • Un air trop sec (en dessous de 30 %) peut provoquer une sensation d’inconfort, dessécher la peau, irriter les yeux et les voies respiratoires.
  • Un air trop humide (au-delà de 70 %) peut favoriser l’apparition de moisissures, la prolifération des acariens et d’autres allergènes, ainsi que la dégradation des matériaux.

Un taux compris entre 40 % et 60 % est généralement recommandé pour garantir un bon équilibre entre confort et salubrité. L’humidité relative peut être mesurée à l’aide d’un hygromètre. Elle est aussi prise en compte dans l’analyse de la qualité de l’air intérieur, ou lors d’un diagnostic d’humidité en cas de condensation, de champignons ou d’odeurs inhabituelles.

L’humidité relative, aussi appelée hygrométrie, désigne le rapport entre la quantité réelle de vapeur d’eau présente dans l’air et la quantité maximale que cet air pourrait contenir à une température et une pression données. Elle s’exprime en pourcentage. Si l’air est totalement sec, on parle d’une humidité relative de 0 % ; si l’air est saturé en vapeur d’eau, l’humidité relative atteint 100 %.

On la qualifie de « relative » car cette mesure dépend de plusieurs facteurs :

  • la quantité de vapeur d’eau réellement présente dans l’air,
  • la température : plus l’air est chaud, plus il peut contenir de vapeur d’eau,
  • la pression atmosphérique, qui influence aussi la capacité de l’air à retenir l’humidité.

Par exemple, à 20°C, un mètre cube d’air peut contenir environ 17 grammes de vapeur d’eau. Si ce mètre cube contient réellement 8,5 grammes, l’humidité relative sera de 50 %. Mais si la température chute, cette capacité diminue : à 10°C, l’air ne peut plus contenir que 9,4 grammes. Dans ce cas, les 8,5 grammes représentent alors près de 90 % d’humidité relative. Voilà pourquoi l’air peut sembler plus humide en hiver, même si la quantité réelle d’eau n’a pas changé.

Dans une habitation, l’hygrométrie ou humidité relative est un facteur important de confort, mais aussi de santé et de conservation du bâtiment :

  • Un air trop sec (en dessous de 30 %) peut provoquer une sensation d’inconfort, dessécher la peau, irriter les yeux et les voies respiratoires.
  • Un air trop humide (au-delà de 70 %) peut favoriser l’apparition de moisissures, la prolifération des acariens et d’autres allergènes, ainsi que la dégradation des matériaux.

Un taux compris entre 40 % et 60 % est généralement recommandé pour garantir un bon équilibre entre confort et salubrité. L’humidité relative peut être mesurée à l’aide d’un hygromètre. Elle est aussi prise en compte dans l’analyse de la qualité de l’air intérieur, ou lors d’un diagnostic d’humidité en cas de condensation, de champignons ou d’odeurs inhabituelles.